Avis défavorable.
Monsieur Roy, quand j'ai cité les sommes de 400 millions et de 1,5 milliard, je parlais d'un levier de développement économique, d'effets induits, et non de la participation des collectivités territoriales. Je vous prie de m'excuser de ne pas avoir été suffisamment précise. Il est cependant évident que le programme national de rénovation des quartiers anciens dégradés n'assurera pas à lui seul, à 100 %, la rénovation de ces quartiers anciens dégradés.