Le plan national de rénovation des quartiers anciens vise donc à remédier aux difficultés rencontrées dans les quartiers mais aussi à transformer des logements sociaux de fait en logements sociaux de droit.
Lorsque j'ai débuté les négociations, je vous avoue que j'espérais obtenir davantage de moyens, mais, compte tenu de la ponction faite sur le 1 % logement, je n'ai pas voulu affaiblir le programme de l'ANRU. Aussi, ai-je gardé ce qui me semblait être le minimum pour pouvoir lancer de façon expérimentale ce plan.
Monsieur Chassaigne, nous n'allons pas sélectionner les quartiers que nous allons rénover en fonction de la proximité politique des uns par rapport aux autres, mais selon les besoins.
Nous avons obtenu 400 millions d'euros sur trois ans.