La plupart du temps, le droit commun s'y applique ; parfois, il faut l'adapter et nous le faisons, quels que soient nos désaccords, comme lors de l'adoption de la loi DADVSI en 2006. Cependant, cette description apocalyptique d'Internet – refuge de tous les pédophiles, proxénètes, mafieux, assassins, criminels, et autres trafiquants de drogue – en donne une fausse image.