Ces deux amendements abordent un sujet émergent. Mais nous avons une difficulté méthodologique : on sait que les résidus médicamenteux ont un impact, notamment sur la faune, mais on ignore quelles en sont les sources majeures. Proviennent-ils de déchets ménagers, de déchets issus du corps humain, de médicaments vétérinaires ? Cela étant, nous acceptons la formulation en l'état : avis favorable sur l'amendement n° 1684 .
En revanche, sur l'amendement n° 1564 , l'avis favorable est subordonné à l'adoption d'un sous-amendement qui proposerait de définir les priorités de réduction, au lieu d'un plan de réduction, parce qu'il faut que nous sachions d'où proviennent les résidus avant d'aller plus loin.