L'amendement ne vise pas à sanctuariser certains locaux professionnels, mais à ce que la protection accordée aux entreprises éditrices s'applique dans le cas des perquisitions effectuées dans les locaux des prestataires techniques – hébergeurs de contenus, fournisseurs d'accès à Internet et opérateurs de télécommunications –, qui détiennent des informations protégées par le secret des sources.