Ce qui est en danger dans notre pays, et vous le savez très bien, c'est le manque de lecteurs, c'est l'indépendance de la presse, ce sont les moyens donnés à la presse. Tous ces chantiers devraient nous rassembler, et non nous diviser ! (Exclamations sur les bancs du groupe socialiste, radical, citoyen et divers gauche et du groupe de la Gauche démocrate et républicaine.)
C'est pourquoi je terminerai par ces mots, monsieur Mamère – et vous savez la considération que je vous porte ainsi qu'à vos combats – : nous pouvons avoir un même idéal et choisir des chemins différents pour y parvenir. J'ai trouvé vos propos excessifs et choquants pour tous ceux qui soutiennent ce projet de loi. (Applaudissements sur les bancs du groupe de l'Union pour un mouvement populaire.)