Je voudrais simplement faire part de mes interrogations, n'ayant pas la prétention d'avoir des réponses, et, par conséquent, encore moins d'en apporter.
Tout d'abord, s'agissant de l'adjectif utilisé, je suis très frappé du fait que l'on ait une propension à qualifier désormais les autorité de « hautes ». Ce besoin d'altitude me conduit à m'interroger sur leur contenu.
Ma seconde question porte sur l'indépendance : qu'est-ce qui garantit l'indépendance de l'institution statistique ?