Eh bien, nous allons continuer l'échange.
Vous aviez dit qu'il fallait absolument libérer le samedi, pour que les familles puissent éduquer leurs enfants, pour que ceux-ci aient une véritable vie de famille puisque, le samedi, les parents ne travaillent pas.
Monsieur le ministre, c'était peut-être une bonne idée – encore que j'aurais souhaité que vous envisagiez qu'on puisse quand même instruire les enfants le mercredi : peut-être pourriez-vous conseiller à votre successeur de revenir aux neuf demi-journées et de faire en sorte que l'on puisse avoir le mercredi matin des activités éducatives, sous le contrôle de l'Éducation nationale.