Il y a eu dans ce débat, organisé par Reporters sans frontières et Mediapart, des mots très forts pour qualifier ce que vous êtes en train de faire et que l'on s'attendrait à voir plutôt dans des pays qui ont une conception moins élevée de la démocratie.
Des propos très forts ont été tenus par Pierre Rosanvallon, philosophe, professeur au Collège de France. Il a parlé de « brutalisation de la liberté de la presse et de brutalisation de la démocratie. »