Vous me direz que je n'ai plus de raison de parler et que je devrais me taire, mais je tiens à confirmer ce que M. Letchimy vient de dire. Les députés de la majorité sont d'accord avec lui.
Je soutiens la position du ministre eu égard à l'amendement de la commission des affaires économiques.
Monsieur Letchimy, vous avez dit vous-même en commission que la défiscalisation était un pari. Le fait que nous restions arc-boutés sur la LBU, qui doit rester le socle, n'empêche pas que la défiscalisation soit un accélérateur, un moyen de renforcer les initiatives prises. Je suis heureux que tout le monde reconnaisse le rôle de la ligne budgétaire unique et je me réjouis, monsieur le secrétaire d'État, que vous compreniez la position de la commission des affaires économiques.
Monsieur le rapporteur, même si vous considérez, dans la rigueur de votre raisonnement, à laquelle je rends hommage, que la loi ne doit pas être bavarde, je vous remercie de souscrire à l'idée qu'il n'est pas toujours inutile de réaffirmer des choses qui peuvent paraître évidentes mais qu'il est bon d'écrire.
(L'amendement n° 321 est adopté.)