Tel est par exemple le cas de la contribution sur les alcools – pour un montant, tout de même, de 480 millions d'euros en 2007 –, mais aussi d'une partie des droits perçus sur la consommation de tabac – pour 411 millions d'euros en 2007 –, qui affluent donc désormais vers la CNAMTS.
Il s'agit bien d'un tour manifeste de prestidigitation.