Madame la présidente, monsieur le ministre, monsieur le président de la commission, monsieur le rapporteur général, monsieur le rapporteur, mes chers collègues, je voudrais, par ces quelques mots, contribuer à un débat auquel on ne donne pas toute l'importance qu'il mérite, surtout dans la période actuelle.
Alors que l'Europe, et donc la France, s'enfonce progressivement dans une crise dont chaque jour apporte une nouvelle preuve, l'orchestre gouvernemental continue à jouer la même musique.