Je reste naturellement ouvert à la discussion sur ce sujet. C'est un pas important que nous allons franchir, en tout cas je le souhaite vivement, et nous utiliserons la puissance de conviction du ministère du budget pour réduire efficacement la dépense fiscale et sociale.
Nous sommes confrontés à une situation inédite pour nos finances publiques : l'évolution des charges d'intérêts et celle des pensions accentuent les contraintes qui pèsent sur les autres dépenses, qu'il s'agisse de la masse salariale ou des dépenses d'intervention.