J'appelle votre attention sur le fait que cette mesure conduirait à doubler le nombre des reçus en première année de médecine. Or, le numerus clausus pouvant atteindre 8 000 dans les deux ans, notre problème n'est pas celui du nombre mais celui de la répartition des médecins.
Je suis de plus très sensible à l'argument du rapporteur : cette mesure conduirait à l'installation de sous-diplômés dans des zones sous-denses, ce qui me paraît contestable sur le plan éthique.