Je répondrai en quelques mots à notre collègue M. Cahuzac. Après avoir démontré qu'elle était mauvaise, notre collègue a dit qu'on avait pris cette mesure parce que c'était une promesse politique. Il a même ajouté que ce n'était pas la nôtre, mais qu'elle était antérieure, ce qui s'avère, à ses yeux, d'autant plus ridicule. Respecter une promesse n'est déjà pas si mal !