Monsieur le président, nous nous réjouissons également de votre décision, qui nous permettra de participer à ce moment particulier qu'est le passage de la flamme olympique. Comme il vient d'être dit, les droits de l'homme sont indivisibles. Notre pays, qui les a portés depuis la déclaration de 1789, doit se montrer exemplaire et protester partout où ils sont bafoués. Il ne peut pas y avoir d'indignation sélective : elle doit s'exprimer pour la Tchétchénie, comme pour le Tibet ou l'Irak.