Madame la présidente, madame la ministre, messieurs les secrétaires d'État, monsieur le haut-commissaire, avec ce texte, le Gouvernement commence à appliquer le programme du Président de la République, notamment en ce qui concerne la réhabilitation du travail sous toutes ses formes et les prélèvements sur les fruits du travail de nos compatriotes.
Parmi ces prélèvements, les droits de succession sont devenus, au fil du temps, injustifiables, puisque la France est l'un des derniers pays développés qui continuent de les prélever. L'Irlande, l'Italie, la plupart des cantons suisses, la Suède, d'anciens pays de l'Est comme la République tchèque et la Slovaquie, le Canada les ont supprimés sans jamais songer à les rétablir.