Ensuite, la rigidité de l'ISF dont les effectifs de la tranche supérieure ne cessent de diminuer au rythme des départs hors de France des décideurs et des créateurs avec leurs capitaux et leurs capacités d'initiative, et donc, de création d'emplois, alors que le premier décile s'accroît quotidiennement de nouveaux propriétaires, moins aisés et pourtant frappés par un deuxième impôt foncier au fur et à mesure de la montée des prix de l'immobilier, au nom d'une richesse virtuelle, dès lors qu'ils ne réalisent pas leur bien.