J'ai presque fini, madame la présidente.
L'augmentation de l'immobilier a généré des dizaines de milliers de nouveaux assujettis à l'ISF, ceux que l'on appelle les « petits riches » et dont le patrimoine oscille aujourd'hui entre 750 000 et 1,2 million d'euros, en raison de la valeur de leur résidence principale. Il faudrait donc instaurer un plancher de 300 000 euros à l'abattement de 20 % sur la résidence principale pour exonérer de l'ISF ces « petits riches ».