Il ne s'agit pas de stigmatiser un État. Si l'on prévoit un référendum, c'est pour tout le monde ou pour personne.
Personnellement, je regrette que l'on ait posé dans les termes que nous connaissons aujourd'hui la question de la Turquie. Je suis intimement convaincu que nous allons évoluer vers un système européen dans lequel tous les États de l'Union de la Méditerranée trouveront place, et qu'on dépassera par le haut cette problématique.