J'essaierai en effet d'être aussi concis qu'Arnaud Montebourg, qui dénonçait les longs discours.
Pardonnez-moi, monsieur le rapporteur, mais la liste des accords de défense n'indique pas leur contenu. Nous sommes dans une partie de ce qu'il est convenu d'appeler le domaine réservé du Président de la République, domaine qui à ce titre échappe à tout contrôle du Parlement. Or, si nous pouvions faire référence à des accords de défense passés avec des pays africains, nous pourrions parler de la politique africaine de la France et de ce que l'on appelle la « Françafrique ».