Je termine, monsieur le président.
N'aidons surtout pas les Français à partir en vacances ! L'unique amendement que notre groupe a pu faire adopter porte sur la nécessaire définition de conditions de ressources à l'attribution de chèques-vacances, puisque celles-ci étaient supprimées dans le texte qui nous était soumis.
C'est donc un projet de loi totalement unilatéral sur lequel nous devons nous prononcer aujourd'hui. Les députés communistes, républicains et du parti de gauche, comme l'ensemble du groupe GDR, voteront tout naturellement contre ce texte profondément libéral et dérégulateur, qui ignore superbement la majorité de nos concitoyens, ceux pour qui l'époque actuelle est loin de rimer avec palaces cinq étoiles. (Applaudissements sur les bancs du groupe GDR.)