Nous invitons, donc, le Gouvernement à la plus grande prudence avant de prendre toute décision sur ce point. Là encore, nous serons vigilants.
Enfin, nous souhaitons que le Gouvernement se saisisse, en 2008, de ce grand chantier qu'est la modernisation du dialogue social. Les réformes qui doivent être engagées dans le domaine social demandent la mobilisation et la participation de tous les acteurs de notre démocratie sociale, pourvus d'une légitimité incontestable.
Pour que cela soit le cas, il faut établir des règles tant de représentativité que de financement adaptées à notre époque, c'est-à-dire qui soient lisibles, compréhensibles par tous et transparentes.