Intéressement et participation – que votre texte assimile à tort – ne sont que des compléments de revenus, et vous incitez – bien sûr fiscalement – à remplacer du salaire négocié et garanti par de l'intéressement non garanti. Votre texte élargit aussi le nombre de bénéficiaires de ces régimes, incluant les présidents des sociétés, les membres du directoire…