Je tiens donc, monsieur le ministre, à saluer l'attitude attentive et constructive dont vous avez fait preuve tout au long des débats.
Le projet de loi se situe à la confluence de deux préoccupations majeures pour les salariés français : la revalorisation de leur pouvoir d'achat et la réhabilitation du dialogue social.
Tous les travailleurs français doivent pouvoir bénéficier du partage des profits de leur entreprise, dont ils sont la source.