…, qui m'a remis une pétition signée de l'ensemble des chauffeurs et rippeurs qui, alors qu'ils sont largement mis à contribution, ne reçoivent aucune compensation financière pour le surcoût de travail accompli et encore moins un treizième mois, contrairement aux autres salariés de l'entreprise. Et ils représentent tout de même la moitié des effectifs.
La pauvreté au travail, voilà ce que c'est, dans la vraie vie ! Dans ces conditions, le « travailler plus pour gagner plus » du locataire de l'Élysée se révèle être une devise bien irréelle, vous en conviendrez.