C'est un lycéen sur deux qui, après le baccalauréat, n'aura aucun diplôme de l'enseignement supérieur au bout de trois ans.
Il ne suffit pas de demander des moratoires et des moyens supplémentaires, parce que s'il ne s'agissait que de cela, nous ne connaîtrions pas la situation dans laquelle nous sommes aujourd'hui. Oui, nous réformons : pour les élèves, pour les familles, pour les professeurs que vous essayez en vain d'opposer à ma politique.
Nous travaillons pour les élèves en apportant du soutien scolaire à tous ceux qui en ont besoin…