Je comprends fort bien les préoccupations de M. Le Bouillonnec et de M. Scellier, mais je me demande si nous n'aurions pas alors un effet de ralentissement des mises en chantier alors que nous voulons faire de la relance. Nous pensons qu'il vaut mieux avoir confiance et laisser les mises en chantier se développer. De toute façon, on aura la possibilité, lors de l'examen de la loi de finances, au vu des résultats de l'années 2009 et de la réalisation des objectifs du plan de relance, de voir si l'on prolonge ou non l'exonération. L'avis est donc plutôt défavorable.