La commission des finances ne l'a pas examiné.
Je comprends, à titre personnel, le souci de M. Le Déaut. Nous souhaiterions tous, en effet, le dégel des crédits en faveur des grands équipements du CNRS. Mais prélever 50 millions d'euros sur le programme « Recherche spatiale », alors que l'on est à quelques semaines du sommet de l'Agence spatiale européenne au cours duquel seront prises des décisions sur les projets en cours et futurs, serait affaiblir fortement la position de la France.