Je n'ai pas été convaincu par le plaidoyer du président Copé. Il a conclu son propos par ce qui s'imposait : on a tenté de gagner du temps. Sur le fond, pourtant, nous sommes là au coeur du problème – du blocage, même – relatif à la redevance. Or nous allons escamoter le débat. A-t-on donc peur de ce débat ?