Dans son exposé, M. Dionis du Séjour a laissé subodorer que l'avis de la commission serait défavorable. En effet, nous avons considéré que son amendement était devenu sans objet depuis l'adoption des amendements nos 100 et 101 , qui instituent une clause de rendez-vous sur la base de deux rapports, l'un du CSA et l'autre du Gouvernement. Je me permets de souligner une étrangeté de la proposition : pourquoi une commission nommée par décret de l'exécutif ? Évaluer l'impact de la réforme ressortit bien du rôle du Parlement, à plus forte raison depuis que de nouvelles prérogatives lui ont été accordées par la Constitution.