Pourquoi refuser les propositions de l'opposition ? Pourquoi ne pas accepter que l'Assemblée et le Sénat se saisissent à nouveau du texte à partir du 1er juin 2011 et décident d'engager une nouvelle étape ?
Nous avons, les uns et les autres, la même inquiétude et la même incertitude : que sera la télévision publique en 2011 ? Nous sommes incapables de le prévoir. Cela étant, nous sommes d'accord avec votre proposition, monsieur le rapporteur, en regrettant toutefois amèrement que vous n'ayez pas été jusqu'au bout de votre logique. Je vous mets en garde : cela va vous tarauder pendant trois ans, au risque de vous donner un ulcère à l'estomac ! (Sourires.)