En conclusion, je regretterai que la politique de rattrapage annoncée en commission par le ministre ne soit pas lisible dans son budget qui, par ailleurs, ne dit mot des pollutions liées aux pesticides. Votre mission budgétaire, monsieur le secrétaire d'État, est une véritable bombe à retardement. L'État doit assainir ses finances, faute de quoi les générations futures hériteront d'un déficit colossal.
Engagez l'action, monsieur le secrétaire d'État ! Rendez l'espoir à la jeunesse en mettant en oeuvre le principe de transparence et de sincérité à l'occasion de l'examen du budget de l'outre-mer, principe qui dépasse largement le clivage gauche-droite, dans l'intérêt de tous nos compatriotes ultramarins…