Dans tous vos propos, lors de votre déplacement, vous vous êtes clairement inscrit dans la ligne de Nicolas Sarkozy, qui, pendant sa campagne, écrivait, dans sa Lettre aux Calédoniens, qu'il voulait être « le Président de la République qui défendra avec énergie et conviction la place de la Nouvelle-Calédonie dans la France. »
Il appelait aussi à « persuader nos compatriotes indépendantistes que le choix de continuer le destin de la Nouvelle-Calédonie dans la France est possible, dans le respect d'une très grande autonomie de la Nouvelle-Calédonie par rapport à la métropole ».