Monsieur le président, monsieur le ministre, mes chers collègues, depuis ce matin, nous n'avons pas été convaincus par les arguments développés par l'opposition, qu'ils aient été exposés par M. Eckert ou par M. Ayrault, lequel non seulement n'a pas répondu à la proposition de loi mais s'est comporté de bien mauvaise manière à l'égard de M. Fabius en déflorant le discours qu'il doit prononcer demain ; mais il s'agit là d'un débat interne au groupe socialiste.