Nous leur avons proposé une nouvelle rédaction, par le biais d'un amendement qui a été adopté par la commission. Certains nous ont dit que c'était beaucoup mieux ; d'autres nous ont même laissé entendre qu'ils étaient d'accord avec la nouvelle rédaction. Nous avons donc discuté avec les syndicats et la porte était ouverte. Que l'on appelle cela négociations ou autrement, nous avons en tout cas discuté avec eux. Vous en étiez partisan, monsieur Eckert, puisque vous avez participé à ces auditions.
Voilà, monsieur le président, les quelques mots que je voulais dire sur le sujet parce que l'on ne peut pas laisser dire n'importe quoi, même si cela a pour but de permettre au parti socialiste d'utiliser pleinement les dix-neuf heures cinquante de temps de parole qui lui ont été allouées. (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.)