Je ne pense pas que vous ayez déposé de copyright – c'est un anglicisme, mais vous en utilisez vous-même beaucoup ! (Sourires.)
Nous voudrions évidemment qu'un député, ça puisse compter, mais nous observons que ce sont pas vraiment les députés qui comptent énormément ces jours-ci. Ce sont surtout les sénateurs – je fais allusion à la réforme de l'hôpital. Notre travail est donc de faire en sorte que, lorsque des réformes sont souhaitées par le peuple français, ce soit l'assemblée désignée par lui qui ait les moyens de les défendre, de les voter et de les imposer au Gouvernement, non le Sénat, qui n'est que le représentant des collectivités locales.