Vous allez donc répondre.
Ensuite, ce serait une atteinte à la démocratie. Pire, cela remettrait en cause ces séances d'initiative parlementaire dont le président nous a dit que c'est en raison de leur particulière importance que leur nombre a été multiplié par trois.
Chers collègues, êtes-vous prêts à débattre, à argumenter sur des questions fondamentales – la crise, ses causes, les solutions possibles – sur lesquelles il est normal que nous ayons un débat approfondi ? J'attends une réponse du Gouvernement et du groupe UMP.