Sur ce point, nos approches diffèrent grandement. Pour notre part, nous pensons qu'il y a un risque, en cas d'accroissement du nombre des salariés payés au SMIC, que ceux-ci ne connaissent plus de progression salariale et que leur déroulement de carrière soit considérablement freiné. Nous préférons donc miser sur le dialogue social, ce qui permet d'encourager un véritable étagement des salaires au sein des branches. (Exclamations sur les bancs du groupe GDR.)