Monsieur le président Sandrier, j'ai naturellement écouté avec beaucoup d'attention ce que vous venez de dire.
Je constate, d'une part, que le Gouvernement est représenté, et, d'autre part, que nombre de nos collègues, siégeant sur différents bancs, nous ont rejoints, puisque le groupe le plus important n'appartenant pas à l'opposition, selon la formule désormais consacrée, est largement présent, tout comme votre groupe, ce qui atteste bien d'une volonté de débattre ; d'autres députés de l'opposition sont également présents.
Les conditions requises sont donc remplies pour que nous puissions commencer à travailler. Cependant, la suspension de séance, que vous m'avez demandée, est de droit. Nous reprendrons nos travaux dans une dizaine de minutes.