Nous affirmons le contraire. Soit on sait et tout nouveau rapport est inutile, soit on ne sait pas et l'on ne peut parler ni d'engagement ni de désengagement de l'État. Les uns pensent – et c'est ce qui nous sépare sur ces bancs – que l'État est bien engagé, d'autres qu'il ne l'est pas suffisamment. En tout état de cause, ces considérations ne peuvent reposer que sur une certaine connaissance que nous avons grâce aux rapports déjà existants.