Ce sous-amendement, conformément aux recommandations du Conseil national du sida et de certaines associations, vise à préciser que le consentement de la personne pour la levée de l'anonymat doit être « exprès, libre et éclairé », selon des modalités définies par décret. Il importe en effet d'éviter toute systématisation, ce qui aurait de désastreux effets.
J'insiste sur la nécessité qu'il y a, pour notre assemblée, à adopter l'amendement n° 542 car les dispositions proposées permettraient à de nombreux malades d'être pris en charge rapidement après le dépistage.