J'ai déjà abordé cette question, mais il est normal qu'elle soit posée plusieurs fois, tant elle taraude le monde combattant. Elle m'est d'ailleurs posée dans chaque congrès, dans chaque rencontre avec les associations.
Semaine après semaine, nous affinons le dispositif. Le préfet Enfrun, directeur général de l'ONAC, et Mme Liliane Block, directrice de la DSPRS, travaillent à mettre en oeuvre les principes que j'ai déjà exposés. Il faut rationaliser, réorganiser et réaliser quelques économies. Par exemple, on n'a pas toujours besoin de deux outils pour effectuer une même opération. Néanmoins mon fil rouge est de ne jamais agir au détriment du service, de la proximité, de la réactivité ou de qualité. Les questions les plus sensibles – comme celle de l'appareillage – doivent être traitées au mieux. Tel est l'état d'esprit dans lequel nous avançons.
Notre prochain rendez-vous, je le rappelle, est pour la fin janvier, au conseil de l'ONAC.