Quant à la campagne double, en la reconnaissant, on ferait preuve de justice en appliquant l'égalité de traitement à toutes les générations du feu.
Or vous savez que votre prédécesseur, M. Mekachera, s'était rendu coupable d'un mensonge d'État en nous soutenant que le rapport avait été transmis au Conseil d'État. Lorsque nous avions interrogé le président du Conseil, le vice-président, M. Benoît de Saint-Marc, s'était excusé de ne pouvoir nous donner son avis, faute de disposer du rapport, que M. Mekachera avait oublié au fond d'un tiroir au secrétariat d'État !
Depuis, le Conseil d'État a émis un avis favorable, mais les choses, monsieur le secrétaire d'État, traînent toujours…