La France des 9 millions de salariés modestes qui touchent la prime pour l'emploi et à qui vous avez refusé, alors que nous vous l'avons proposé plusieurs fois sous forme d'amendement, une augmentation de cette prime au-delà de l'inflation. Enfin, la France des salariés à temps partiel – pour plus de 80 % des femmes –, qui savent bien que ce ne sont pas eux qui décident de leur temps de travail mais le chef d'entreprise.