Sur un sujet aussi important – tout comme l'est celui de la responsabilité des agriculteurs, que nous aborderons plus tard –, il ne me paraît pas possible, monsieur le président, de court-circuiter les débats à ce point : je vous l'affirme avec solennité et sans remettre en cause vos prérogatives – vous n'êtes pas obligé en effet de nous donner la parole. (« Ah ! » sur quelques bancs du groupe de l'Union pour un mouvement populaire.)
S'il n'est donc pas question de vous reprocher d'avoir dérogé au règlement, il serait cependant de bon aloi, alors que nous examinons des points considérés comme essentiels lors de nos discussions entre groupes, de nous laisser le temps du débat.