C'est en effet probable.
Je comprends que l'on puisse se focaliser sur les conditions de travail d'une catégorie particulière de nos concitoyennes et de nos concitoyens qui sont particulièrement menacés. Lorsque nous légiférons dans cet hémicycle sur la santé au travail, nous parlons des mannequins. Il est vrai que, maintenant, cette profession est reconnue en haut lieu et que la sollicitude qu'on lui témoigne est toujours la bienvenue.