Je vous agace : c'est bon signe ! J'évoque des points importants et cela devient en effet plus difficile pour vous.
Comment, dans ces conditions, chers collègues, vous qui protestez, mettre en place une véritable politique de prévention, une véritable politique de santé publique, sans passer par des campagnes d'information dans les écoles, les collèges, les lycées et les universités, sans compter sur la présence de personnels qualifiés pour repérer les jeunes en souffrance et les aider à libérer leur parole auprès de psychologues scolaires, par exemple, dont nos établissements manquent si cruellement ?