Et c'est certainement le cas de votre discours d'aujourd'hui.
Vous nous accusez de n'avoir pas sanctionné les responsables fautifs. Vous oubliez sans doute qu'après la prise de participation de l'État français dans le capital de Dexia, les dirigeants de cette banque ont été remplacés. Aucun parachute doré n'a été versé.