chargé du commerce, de l'artisanat, des petites et moyennes entreprises, du tourisme et des services. Monsieur le président, monsieur le président de la commission des finances, mesdames, messieurs les députés, au terme de ce débat, je souhaite saluer l'ensemble des intervenants, qui ont chacun pu apporter leur part de vérité. Celle-ci, on le sait, n'est pas univoque et se dissimule parfois même dans des discours que tout oppose aux positions du Gouvernement et de sa majorité. Ainsi ne puis-je que remercier Jean-Pierre Brard des compliments qu'il a bien voulu m'adresser, en soulignant notamment que mes idées étaient ordonnées. Je ne crains pas de dire que des idées pour lesquelles je milite depuis des années, inspirées de règles ordonnées, ont davantage fait leurs preuves que certains régimes naguère soutenus sur certains bancs du côté gauche de l'hémicycle.
À M. Philippe Vigier, je souhaite dire combien le Gouvernement a apprécié le soutien du groupe Nouveau centre à des chantiers importants, notamment ceux qui visent à moraliser les marchés. Ses propositions de supprimer les parachutes dorés ou d'encadrer la rémunération des dirigeants rencontrent, bien évidemment, l'assentiment du Gouvernement. Je remarque d'ailleurs qu'aucun gouvernement de gauche n'a pris de telles mesures en ce domaine.
Monsieur Louis Giscard d'Estaing, je vous remercie pour votre excellent résumé des événements ayant affecté la sphère financière. La clarté de votre exposé a montré d'emblée les enjeux et les défis auxquels nous avons dû faire face. Les travaux des députés UMP,…